sábado, 3 de diciembre de 2016

"OÙ VA LE MONDE?" La femme

"OÙ VA LE MONDE?"
  La femme 

Souvent on se pose cette question...
Regardez la vidéo, mais faites gaffe parce qu'il y a quelques fautes d'orthographie dans les sous titres. 


"OÙ VA LE MONDE?"
  La femme 
Où va le monde?

domingo, 3 de abril de 2016

                                                      OSCAR - CLAUDE  MONET



jueves, 25 de febrero de 2016

PASSÉ COMPOSÉ (4º ESO, 2º BAC.)


PASSÉ COMPOSÉ

Equivalencia en español

El passé composé se correspondería (formalmente) con el Pretérito Perfecto Compuesto en español.

ej.: J'ai mangé = (Yo) he comido

Pero también se puede traducir como el Pto. Perfecto Simple ( yo comí). Esto va a depender del contexto, de los referentes temporales, y funciona igual que en español:

Hier j'ai mangé = Ayer comí (espacio termporal concluido)
Aujourd'hui j'ai mangé = Hoy he comido ( espacio temporal no concluido)

Existe un tiempo en francés, el Passé Simple, que se parece más formalmente a nuestro Pretérito Perfecto simple:
Je mangeai, tu mangeas, il mangea, nous mangeâmes, vous mangeâtes, ils mangèrent.
Pero este tiempo en francés sólo se usa en un nivel de lengua muy formal (discursos, literatura...)



FORMACIÓN DEL PASSÉ COMPOSÉ

El passé composé está formado por un auxiliar ( ÊTRE o AVOIR) conjugado en Presente de Indicativo) y un participio.

Pronombre + avoir + participio pasado

j' ai regardé
tu as regardé
il/elle/on a regardé
nous avons regardé
vous avez regardé
ils/elles ont regardé
Pronombre + être + participio pasado

je suis venu(e)
tu es venu(e)
il/on est venu / elle est venue
nous sommes venu(e)s
vous êtes venu(e)s
  • ils sont venus / elles sont venu(e)s

Los participios pasados (p.p)

¿Cómo formamos el participio pasado?

  En español, los verbos regulares toman las terminaciones -ado o -ido ( ej. cantar: cantado; comer: comido).
En francés, los verbos del primer grupo (en -er) toman la terminación -é. 
 Ej: MANGER: mangé.
Los verbos ( del 2º grupo, regulares, que terminan en -ir, tienen un participio pasado que termina en -i. Recordemos no acentuar esta -i.
 Ej: FINIR: fini.

Hay otros verbos que no se adaptan a estas reglas:



Participes passés irréguliers

apprendre appris offrir offert
asseoir assis ouvrir ouvert
avoir eu parvenir parvenu
boire bu permettre permis
comprendre compris plaire plu
conduire conduit pleuvoir plu
connaître connu poursuivre poursuivi
courir couru pouvoir pu
craindre craint prendre pris
croire cru promettre promis
découvrir découvert recevoir reçu
décrire décrit reconnaître reconnu
devenir devenu remettre remis
devoir dû, due revenir revenu
dire dit rire ri
écrire écrit savoir su
éteindre éteint souffrir souffert
être été souvenir souvenu
faire fait suivre suivi
falloir fallu taire tu
joindre joint tenir tenu
lire lu traduire traduit
mettre mis venir venu
mourir mort vivre vécu
naître voir vu
obtenir obtenu vouloir voulu 











Los auxiliares: ÊTRE /AVOIR

  • Generalmente todos los verbos se conjugan con avoir.

  • Lo harán con être:


- una lista de unos 14 verbos ("los verbos de la escalera") Se dice de éstos que suelen indicar un cambio de estado, o movimiento; pero no debemos guiarnos por esta característica puesto que hay otros muchos como sauter o courir o danser que se conjugan con avoir



Infinitif



Participe passé
  • aller
  • (r-)entrer
  • retourner
  • (re)/(de) venir
  • arriver
  • partir
  • passer
  • naître
  • mourir
  • rester
  • monter
  • descendre
  • tomber
  • sortir
  • allé(e)(s)
  • (r-)entré(e)(s)
  • retourné(e)(s)
  • (re)/(de) venu(e)(s)
  • arrivé(e)(s)
  • parti(e)(s)
  • passé(e)(s)
  • né(e)(s)
  • mort(e)(s)
  • resté(e)(s)
  • monté(e)(s)
  • descendu(e)(s)
  • tombé(e)(s)
  • sorti(e)(s)
- sus compuestos.(por ej., de entrer, rentrer)
- y los verbos pronominales: se lever, se laver...




CONCORDANCIAS


Le participe passé et l'auxiliaire AVOIR

Le participe passé utilisé avec l'auxiliaire avoir ne s'accorde jamais avec le sujet du verbe .
Il s'accorde avec le complément d'objet direct (COD) si celui-ci est placé avant le verbe :

Ex:
Lucie a acheté une robe ==>Lucie a acheté quoi? Une robe: pas d'accord, le cod est placé après.
La robe que Lucie a achetée est très jolie. ==> Lucie a acheté quoi? ==>la robe, le COD est placé avant => accord

Avec le pronom personnel EN, lorsqu'il est COD, il est considéré comme un pronom neutre ==> il n'y a pas d'accord (tendance générale, et que nous appliquerons ici, même si certaines sources discutent cette règle) :
ex:
Des robes, Lucie en a acheté deux pour le même prix .


Le participe passé et l'auxiliaire ÊTRE

Los verbos conjugados con être deben concordar en género y número con el sujeto.
 En otras palabras, si el participio de venir es venu, si se conjuga con una persona femenina, debe ser venue. De la misma manera, si venir se conjuga con una persona del plural, debe ser venus o venues (venus si es masculino y venues si es femenino):
Pronombre + être + participio pasado
je
suis
venu(e)
tu
es
venu(e)
ill/on
est
venu
elle
est
venue
nous
sommes
venu(e)s


vous



êtes



venu(e)s
ils
sont
venus
elles
sont
venu(e)s



Nota 1: Je puede referirse al femenino o masculino, dependiendo del hablante.
Nota 2: Tu puede referirse al femenino o masculino, dependiendo de quien se habla.
Nota 3: Nous puede referirse al femenino o masculino, dependiendo de los hablantes.
Nota 4: Como el pronombre Vous puede referirse a ambos pronombres usted o vosotros, puede variar de todas formas, ya que usted es singular y puede ser femenino o masculino, y vosotros es plural y puede referirse a tanto el femenino como el masculino.



Aparte de los arriba mencionados, se conjugarán con "Être" todos los verbos pronominales ( reflexivos o recíprocos ), generalmente con las mismas condiciones de concordancia entre sujeto y participio pasado. También los compuestos de los verbos del dibujo ( devenir, revenir, renaître, retomber...), PASSER y RETOURNER.

*Cabe mencionar que ciertos verbos tienen doble construcción, por lo que a veces serán usados como transitivos ( auxiliar "Avoir ) y otras como intransitivos de movimiento ( auxiliar " Être" ); en ese caso tampoco se hará, pues, la concordancia- a no ser que el c.d. vaya delante del passé composé).
Ejemplos:
Je suis monté(e) dans le train / j'ai monté les escaliers
Elle est passée par Paris / elle a passé ses examens




Conjugación de los verbos reflexivos en el passé composé

se laver (lavarse)
Je me suis lavé(e)
Tu t' es lavé(e)
Il s' est lavé
Elle s' est lavée
Nous nous sommes lavé(e)s
Vous vous Êtes lavé(e)s
Ils se sont lavés /Elles se sont lavées

La forma negativa
Je ne me suis pas lavé(e)
Tu ne t' es pas lavé(e)
Il ne s' est pas lavé
Elle ne s' est pas lavée
Nous ne nous sommes pas lavé(e)s
Vous ne vous êtes pas lavé(e)s
Ils ne se sont pas lavés
Elles ne se sont pas lavées


Otros ejemplos:
  • Il s'est levé à six heures. (Él se levantó a las seis.)
  • Elle s'est lavée. (Ella se lavó.)
    Pero cuidado:
  • Elle s'est lavé la figure. (Ella se lavó la cara.)
    (Cuando el verbo reflexivo tiene un objeto directo no se hace la concordancia con el sujeto)

Negando en el passé composé

  • Je n'ai pas fini mon dîner. (No he terminado mi cena.)
  • Elles ne se sont jamais maquillées. (Ellas nunca se maquillaron.)
  • Il n'a rien découvert. (No ha descubierto nada.)
  • Elle n'y est pas restée longtemps. (No se quedó allí por mucho tiempo.)
    (Los pronombres y adverbios frecuentes se ponen justo delante del auxiliar)









jueves, 21 de enero de 2016

Libertin

LIBERTIN
 
 Ne doit pas être confondu avec libéral ni libertaire.

 Le terme libertin (du latin libertinus, « esclave qui vient d’être libéré », « affranchi ») comporte deux acceptions principales :


 

  • dans sa version d’origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes établis, c’est  un libre penseur (ou libertin d’esprit) dans la mesure où il est affranchi, en particulier, de la métaphysique et de l’éthique religieuse (exemple : Dom Juan de Molière) ; 
     


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  • le sens qui prévaut de nos jours se réfère au libertin de mœurs, c’est-à-dire celui qui s’adonne aux plaisirs charnels avec une liberté qui dépasse les limites de la moralité.




    Libertinage intellectuel du XVIIe siècle
Relecture des théories du philosophe grec Épicure, le libertinage est un courant de pensée né au XVIe siècle en Italie (Cardan, Paracelse, Machiavel), puis continué au siècle suivant par Gassendi. Affirmant l’autonomie morale de l’homme face à l’autorité religieuse (aspect surtout spéculatif de la liberté d’esprit), il débouche au XVIIIe siècle sur la forme moderne de l’esprit critique : appliqué à la réalité, expérimental. Critique envers le dogmatisme, le libertinage refuse la notion de système philosophique ; il se constitue davantage sur une pluralité d'essais philosophiques portant sur divers thèmes, convergeant dans une même critique de la religion et du dogme.
Matérialistes, les libertins considèrent que tout dans l’univers relève de la matière, laquelle impose, seule, ses lois. Ils estiment donc que la compréhension du monde relève de la seule raison, reniant, pour beaucoup, la notion de Créateur. Sur le plan politique, ils considèrent que les prêtres participent à la domination des princes sur les peuples, régnant sur eux par la superstition2. L'école de Padoue conteste en particulier la notion de miracles et d'oracles, affirmant la seule existence du déterminisme naturel.
Alors que la monarchie française repose sur une légitimité divine, on comprend facilement la menace que pouvaient représenter des individus se voulant indépendants de toute contrainte religieuse ou moraliste, établie par l’Église, l’État ou la Tradition. Ce d’autant que les libertins appelaient de leurs vœux l’apparition d’une société reposant sur le mérite (et non les privilèges), dans un esprit de justice et d’entente sociale.
Toutefois, considérant que l'obéissance du peuple repose sur les mensonges des prêtres, ils se montrent extrêmement prudents et secrets: il ne s'agit pas en effet de révéler à tous les impostures du clergé. Ces idées sont ainsi exposées par G. C. Vanini2 « Si la liberté de penser est totale, il n’en est pas de même de la liberté d’expression qui doit s’imposer quelques règles. » (F. Charles-Daubert, 20042). Mais le secret de ces petits clubs de réflexion (les Dupuy à Paris) n'est pas qu'une précaution politique: c'est aussi une position théorique assumée, qui reprend la distinction de Montaigne entre le public et le privé2, équilibrant le scepticisme avec un apparent conformisme au-dehors. La superstition, qui fonde l'obéissance indispensable du peuple, est ainsi contrastée avec l'examen raisonné de toutes choses par le philosophe.
La politique est analysée comme étant essentiellement tromperie (voir Les considérations politiques sur les coups d'État de Gabriel Naudé)2 — position qui converge fortement avec celle de Pascal. Or, si Pascal critique les « demi-habiles », critique qui vise les libertins (Pascal lui-même vécut une jeunesse libertine, avant d'embrasser de façon quasi-mystique le jansénisme), pour vouloir révéler des vérités dangereuses, et ne pas savoir s'élever à des vérités d'un rang supérieur (telles que la valeur de la tromperie), en fait les libertins eux-mêmes sont loin de vouloir révéler les supercheries de la religion, qui lie le peuple ; ils sont en effet « d’autant plus discrets que le pouvoir repose sur l’apparence et qu’il suffirait d’une démystification pour qu’il se retrouve privé des moyens de s’exercer » (F. Charles-Daubert, 2004).
Si l’on ne retient aujourd’hui volontiers que l’aspect sensuel et vaguement immoral du libertinage, ce rejet d’une morale dogmatique se fonde sur la négation de l'existence de Dieu, qui légitime l’envie de jouir de sa vie terrestre. Le libertinage n'est pas pour autant immoral: le Theophrastus redivivus, traité anonyme de 1659, préfigure l'athée vertueux de Pierre Bayle, qui fera l'éloge de Spinoza dans son Dictionnaire. Davantage qu'immoral, le libertinage prône un relativisme moral, pour lequel la morale chrétienne n'est pas un absolu, mais un mode de règlement des rapports sociaux, de la même façon que le sont les lois.
Parallèlement à ce mouvement se développe une école du doute : un courant de pensée né en Italie remet en question la science s’appuyant sur Aristote et figée par les dogmes religieux (thomisme). Une réflexion naît sur les rapports entre la foi et la raison. Les Grandes Découvertes géographiques ébranlent le dogme de l’univers chrétien au centre du monde. La redécouverte des chefs-d’œuvre païens démontrent que l’art et la beauté peuvent exister en dehors de toute référence chrétienne. L'anthropologie permet à La Mothe le Vayer de relativiser la Révélation divine revendiquée par le christianisme, en rabattant celui-ci sur le paganisme. Les découvertes scientifiques mettent en contradiction le fait scientifique et le dogme religieux. Les perturbations politiques et les conflits religieux affaiblissent la confiance que l’on peut avoir envers des dirigeants religieux.
Vers 1615, un groupe de poètes athées (Boisrobert, Tristan L'Hermite, Saint-Amant et Théophile de Viau) forme une société secrète. Ils se considèrent comme des « antéchrists » et diffusent des œuvres anonymes défendant leurs thèses. On les considère à l’époque comme des sorciers et des sorcières. Plusieurs œuvres sont publiées dans ces années:
  • Gabriel Naudé, Apologie pour les grands personnages soupçonnés de magie, 1625 et Considerations politiques sur les Coups d’État, 1652
  • Gassendi, De vita et moribus Epicuri, 1647.
  • La Mothe Le Vayer, Discours (1655); Traités (1662); Dialogues (1669).
En 1647, Pierre Gassendi réhabilite la philosophie d’Épicure. Ouvrant la voie au libertinage de mœurs, ces idées se font plus discrètes après la condamnation de certains libertins à la mort (le philosophe Jules César Vanini périt sur le bûcher en 1619), à l’emprisonnement ou à l’exil.
En 1659 est publié le Theophrastus redivivus, un compendium d'extraits d'auteurs anciens, qui tente une relecture de l'histoire de la philosophie en tant qu'histoire de l'athéisme. À la fin du siècle, Hobbes et Spinoza seront intégrés, à tort ou à raison, dans cette « généalogie d'une philosophie athée ». Ainsi, en 1721, l'auteur présumé de La Vie et l’esprit de M. Benoit Spinoza, qui reprend en fait un ouvrage blasphématoire intitulé le Traité des trois imposteurs, Jean Maximilien Lucas, y fait l'apologie de la méthode exégétique décrite dans le Traité théologico-politique.

Le roman libertin du XVIIIe siècle

Resultado de imagen de libertin litterature images Difficile de parler d’écriture libertine sans évoquer les auteurs de romans libertins comme Crébillon, Sade ou Laclos, autant d’auteurs appartenant au siècle dit « des Lumières ». Pourtant des auteurs considérés comme « libertins » semblent se faire connaître dès le XVIe siècle, mais moins pour leurs œuvres que pour l’esprit frondeur qu’ils y instillaient. Ainsi, des historiens humanistes étaient taxés de « libertinage » de par leurs travaux qui remettaient en cause l’histoire officielle souvent complaisante envers la monarchie et ses représentants les plus influents.

C’est donc bien au XVIIIe siècle que l’écriture libertine à proprement parler prend une toute autre dimension. Elle met en scène, à travers le roman, une liberté de penser et d’agir qui se caractérise le plus souvent par une dépravation morale, une quête égoïste du plaisir. Des œuvres majeures comme les Liaisons dangereuses de Laclos ou encore Les Égarements du cœur et de l'esprit de Crébillon fils, ont introduit de nouveaux codes, une nouvelle façon de penser, d’écrire et de décrire le libertinage. La vie en société est présentée comme un jeu de dupe dont les libertins maîtrisent à la perfection les codes et enjeux. La séduction y est un art complexe que l’on entreprend par défi, désir ou amour-propre. La femme est identifiée comme une proie à « entreprendre », qui finit plus ou moins rapidement par céder devant son « chasseur ». On retrouve bien souvent, prodiguée par un libertin, une initiation au sexuel, au cynisme, au comportement à adopter en société, destinée à celui ou celle qui devra lui succéder dans ses préceptes. L’expression choisie est fine, raffinée, souvent allusive, tranchant avec une littérature dite licencieuse.

Notes et références
  1. André Lagarde, Laurent Michard, XVIIIe siècle, Bordas, 1961, p. 13.
  2. Françoise Charles-Daubert, "Spinoza et les libertins" [archive], Hyper-Spinoza, Publié le 3 mai 2004, mise à jour le 27 novembre 2007
  3. Idées Libertins [archive]

Bibliographie

  • Jean-Pierre Cavaillé, Dis/simulations. Jules-César Vanini, François La Mothe Le Vayer, Gabriel Naudé, Louis Machon et Torquato Accetto. Religion, morale et politique au e siècle, Paris, Honoré Champion, 2002.
  • Pierre Choderlos de Laclos, Les liaisons dangereuses, Paris, France Loisir, 1982.
  • Sophie Gouverneur, Prudence et subversion libertines. La critique de la raison d’État chez François de La Mothe Le Vayer, Gabriel Naudé et Samuel Sorbière, Paris, Honoré Champion, 2005.
  • Philippe Laroch, Petits-maîtres et roués, Québec, Les Presses de l'Université de Laval, 1979.
  • Patrick Wald Lasowski, Le Grand Dérèglement. Le roman libertin du XVIIIe siècle, Paris, Gallimard, 2008 (ISBN 978-2-07-011938-7)
  • Gianluca Mori et Alain Mothu (éds.), Philosophes sans Dieu. Textes athées clandestins du e siècle, Paris, Honoré Champion, 2005.
  • Alain Mothu et Alain Sandrier (éds.), Minora Clandestina I. "Le Philosophe antichrétien" et autres écrits iconoclastes de l’âge classique, Paris, Honoré Champion, 2003.
  • G. Paganini, M. Benitez et J. Dybikowski (éds.) Scepticisme, clandestinité et libre pensée. Scepticism, Clandestinity and Free-Thinking, Paris, Honoré Champion, 2002.
  • René Pintard, Le libertinage érudit dans la première moitié du XVII siècle, Paris 1943. Reprint: Slatkine, Genève et Paris 1983.
  • Valentina Ponzetto, Musset ou la nostalgie libertine, Genève, Droz, 2007 (ISBN 978-2-600-01127-3)
  • Claude Reichler, L'Âge libertin, Paris, Éditions de Minuit, 1987.
  • Bruno Roche, Le Rire des libertins dans la première moitié du XVIIe siècle, Coll. Libre pensée et littérature clandestine, Paris, Honoré Champion, 2011 (ISBN 9782745320926)
  • Anne Staquet, Descartes et le libertinage, Paris, Éditions Hermann, 2009.
  • Laurence Tricoche-Rauline, Identité(s) libertine(s). L’écriture personnelle ou la création de soi, Paris, Honoré Champion, 2009.
  • Jessica Morey : Libertine, 2014
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