lunes, 17 de marzo de 2014

GAUGUIN

Eugène Henri Pael Gauguin (né le 7 juin 1848 à Paris et mort en 1903 à Atuona , Hiva Oa , Iles Marquises) est un peintre postimpressionniste.
Chef de file de l´Ècole de Pont-Aven et inspirateur des Nabis, il est considéré comme l´un des peintres français du XIX siècle.
 Son pére était un journaliste républicain au National. Sa mére était la fille de Flora Tristan.
 Oeuvres: Le lac dans la plaine, La Seine sous le pont du Jena,  Paysage d'automne,  Mette Gauguin  en train de coudre.




domingo, 9 de marzo de 2014

JEAN- JACQUES ROUSSEAU


Jean-Jacques Rousseau est né le 28 juin 1712 à Genève et il est mort le 22 Juillet 1778 à Ermenonville.

Il est un philosophe, écrivain et musicien genevois francophone. La vie de Rousseau est une vie d' indépendance et d' instabilité.
Il quitte Genève à 16 ans et va à Savoie.
Il ne reçoit pas d' “éducation” à proprement parler: c'est un autodidacte qui  acquiert une très vaste culture au fil des ans.
À 30 ans, il s'installe à Paris où il développe ses activités de musicien et ses activités de philosophe (rédaction d' articles pour l' Encyclopédie)
Il est un collaborateur de l' Encyclopédie. Sa pensée comprend des matières variées : théologie, critique, sociale, ou théorie politique.
La réflexion sur la liberté constitue l'unité de sa oeuvre: la liberté originelle de l'homme à l'état de nature.
Il est un important théoricien de la république.
Ses trois œuvres majeures sont :

  • Juliet ou la Nouvelle Héloise (1761)
  • Du contrat social (1762)
  • Émile ou de l'éducation

Miriam Hernández Carrasco 4.º A

Mme de La Fayette.


Madame de La Fayette

Née en 1634 à Paris, dans une famille  dans l’entourage du cardinal de Richelieu .Elle était une grande aristocrate française. Sa mère, fille d’un médecin du roi, est au service de la duchesse Rose-Madeleine d'Aiguillon.
En 1650, elle devient dame d'honneur de la reine Anne d'Autriche et commence à acquérir une éducation littéraire auprès du grammairien Ménage  qui lui enseigne l’italien et le latin. Ce dernier l’introduit alors dans les salons  littéraires en vogue de Catherine  de  Rambouillet , de la Marquise du Plessis-Bellière et de Madeleine  de  Scudéry.
Paris, dans une famille  dans l’entourage du cardinal de Richelieu.
En 1650, sa mère se remarie avec Renaud de Sévigné, un oncle du mari de la marquise  de  Sévigné ; les deux femmes , qui ont huit ans de différence , deviendront pour toujours « les plus chères amies du monde » .
Mme de La Fayette est la prèmière femme que a écrit des romans historiques comme "La princesse de Clèves" , "Romans et Nouvelles" et "Histoire de Madame Henriette d´Angleterre"
En 1655, Madeleine épouse, à l’âge de 21 ans, un Auvergnat de dix-huit ans son aîné, François Motier, comte de La Fayette dont elle aura deux fils. Ce veuf, frère de la célèbre Louise de La Fayette, qui mène une existence retirée dans son château, lui apporte la fortune et un nom. Elle l’accompagne dans ses domaines familiaux en Auvergne et dans le Bourbonnais bien qu’elle retourne fréquemment à Paris où elle commence à s’introduire dans la haute société de la Cour et à ouvrir avec succès son propre salon. Leur bonheur conjugal semble avoir sombré après quelques années de mariage, après la naissance de leurs fils, date à partir de laquelle François de La Fayette se fait tellement discret qu'il semble avoir littéralement disparu (ce n'est qu'à la fin du XIX siècle qu'un document trouvé dans les archives de la Trémoille indique que ce mari silencieux avait vécu jusqu'au 26 juin 1683) .
  La Bruyère a résumé ainsi cette étrange situation : « Nous trouvons à présent une femme qui a tellement éclipsé son mari, que nous ne savons pas s’il est mort ou en vie… »
  Voltaire a dit d'elle: " Sa Princesse de Clèves et sa Zaide furent les premiers romans où l'on vits les moeurs des honnêtes gens et des aventures décrites avec grâce"
                                                                   
                                                                                                      Alberto Calle 4A

Marie-Madeleine Pioche de La Vergne est née dans une famille aisée de petite noblesse, qui gravite dans l’entourage du cardinal de Richelieu.Sa mère, fille d’un médecin du roi, est au service de la duchesse Rose-Madeleine d'Aiguillon. Son père, Marc Pioche de la Vergne, écuyer du roi, meurt d'une balle dans le torse alors  qu’elle n’a que quinze ans. L’année suivante, en 1650, elle devient dame d'honneur de la reine Anne d'Autriche et commence à acquérir une éducation littéraire auprès du grammairien Ménage qui lui enseigne l’italien et le latin. Ce dernier l’introduit alors dans les salons littéraires en vogue de Catherine de Rambouillet de la Marquise du Plessis-Bellière et de Madeleine de Scudéry.
En 1650,sa mère se remarie avec Renaud de Sévigné, un oncle du mari de la marquise de Sévigné ,les deux femmes , qui ont huit ans de différence , deviendront pour toujours « les plus chères amies du monde.
En 1655, Madeleine épouse, à l’âge de 21 ans, un Auvergnat de dix-huit ans son aîné, François Motier, comte de La Fayette dont elle aura deux fils. Ce veuf, frère de la célèbre Louise de la Fayette, qui mène une existence retirée dans son château, lui apporte la fortune et un nom. Elle l’accompagne dans ses domaines familiaux en Auvergne et dans le Bourbonnais bien qu’elle retourne fréquemment à Paris où elle commence à s’introduire dans la haute société de la Cour  et à ouvrir avec succès son propre salon. Leur bonheur conjugal semble avoir sombré après quelques années de mariage, après la naissance de leurs fils, date à partir de laquelle François de La Fayette se fait tellement discret qu'il semble avoir littéralement disparu.La Bruyère  a résumé ainsi cette étrange situation : « Nous trouvons à présent une femme qui a tellement éclipsé son mari, que nous ne savons pas s’il est mort ou en vie… »
On compte, parmi les connaissances de Marie-Madeleine de La Fayette,Henriette d'Angleterre, future duchesse d’Orléans, qui lui a demandé d’être sa biographe le Grand Arnauld et Huet dont le Traité de l'orige des romans sera publié en préface de son Zaïde. Au tout début de la Fronde, elle a également été proche du cardinal de Retz.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Madame_de_La_Fayette


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PAUL VERLAINE


Paul Marie Verlaine est un poète framçais, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896.

Partagé entre sensualité et mysticisme, Paul Verlaine connaît une vie difficile et parfois violente, qui s’achève prématurément dans l’alcool. Mais l’inventeur des «Poètes maudits» sait aussi chanter les amours rêveuses et la naïveté de l’enfance. Il donne à lire une poésie tantôt nostalgique et crépusculaire, tantôt vive et libre, animée par le ton parlé et par l'imprévu des rythmes impairs, qui contribua largement à libérer le vers. Par l’importance accordée à la musique et aux images, son œuvre porte une réforme de la poésie française. Son talent, son originalité fascineront, et les écoles d'avant-garde se réclameront de lui.

La famille de Verlaine appartient à la petite bourgeoisie. Son père, comme celui de Rimbaud, est capitaine dans l'armée.

Verlaine s’installe avec sa famille à Paris en 1851. Il commence alors des études médiocres au lycée Condorcet. Passionné de dessin et de littérature, il écrit des vers et des nouvelles à la manière d'Edgar Poe. En 1858 (à 14 ans), il envoie à Victor Hugo un poème de sa composition, intitulé La Mort.


A 21 ans, Verlaine est chargé de la critique littéraire dans la revue "L'Art", il écrit des articles élogieux sur Charles Baudelaire et VictorHugo.

A partir de 1887, alors que sa célébrité s'accroît, il plonge dans la misère la plus noire. Les productions littéraires de ses dernières années sont purement alimentaires. A cette époque, il partage son temps entre le café et l'hôpital. En 1894, il est couronné "Prince des Poètes" et doté d'une pension.

Usé prématurément, il meurt dans la misère le 8 janvier 1896, à Paris. Le lendemain de son enterrement, plusieurs quotidiens relatent un événement curieux: dans la nuit qui a suivi les obsèques, la statue de la Poésie, au faîte de l'Opéra, a perdu un bras qui s'est écrasé, avec la lyre qu'il soutenait, à l'endroit où le corbillard de Verlaine venait de passer... 

Pour Miguel Jesús Torres Mora et Manuel Velázquez Espejo 4ºA
 
             Marguerite Duras

Marguerite Duras est née à Saigon  le 4 Avril 1914. Elle a passé son enfance avec sa mère dans l'Indochine française, qui lui a profondément marqué et inspiré nombre de ses œuvres. Elle a changé son nom en 1943 par un village du Lot- et-Garonne, où elle avait une maison. En 1932, elle rentre en France. Elle a étudié le droit, les mathématiques et les sciences politiques. Elle a travaillé comme secrétaire au ministère des Colonies de 1935 à 1941.


Elle s'est mariée en 1939 avec Robert Antelme . Elle avait un fils qui est mort en 1942. Cette même année, elle a rencontré Duras Dionys Mascolo, un amant,  avec qui elle a eu un autre enfant. Pendant la Seconde Guerre mondiale, tous les deuxont  participé à la Résistance française. Son groupe est tombé après une embuscade , aidé par Marguerite échappe François Mitterrand, mais Robert Antelme a été arrêté et envoyé dans un camp de concentration le 1er Juin 1944.
En 1945, malgré son désir de divorce, quand Robert est revenu, dans des conditions difficiles, le camp de Dachau, elle a dû s'occuper de lui, un fait qu'elle raconte dans son roman La douleur tard .   Ils ont divorcé en 1946. Elle a été active au sein du Parti communiste d'où elle a été expulsée en 1955.


Ses premiers romans, Les imprudents (1943) et La Vie tranquille (1944 ), récit  reflète une certaine influence anglo-saxonne, a ensuite évolué dans les formes du "nouveau roman " et L' après- midi M. Andesmas, 1960.
 Ses œuvres ultérieures soulignent dans des histoires courtes, l'angoisse et le désir des personnages tentent d'échapper à la solitude.
Ses grands romans sont Le ravissement de Lol V. Stein, 1964, Le Vice- Consul, 1966; L'Amante Anglaise, 1967; Détruire, dit -Elle, 1969, L'Amour, 1971 , et le texte India Song, 1973, qui comprend des personnages de Le vice-consul et puis a pris exception au cinéma.
Avec L'Amant (1984) a remporté le prix Goncourt.
 C'est un roman plus accessible (et certainement pas le meilleur d'entre eux), mais il a atteint un succès mondial avec plus de trois millions exemplaires, et traduit en quarante langues. Il prend une mémoire de l'adolescence et prépare nivelescamente. Je suis retourné très bien dans L'Amant de la Chine du Nord, 1991.
Son œuvre littéraire a quelques quarantaines de romans et une douzaine de pièces de théâtre. Sa carrière dramatique a été reconnu en 1983 par l'Académie française avec le Grand Prix du théâtre. Marguerite Duras a écrit le scénario du film Hiroshima, mon amour (1958), 2 réalisé par Alain Resnais et réalisé plusieurs films, y compris India Song, et des enfants.
La vie même de l'écrivain est un roman sur lequel elle a écrit sans cesse. La destruction, l'amour, l'aliénation sociale sont les mots clés de la vie de Marguerite Duras détectés dans son travail. Une histoire mouvementée, la solitude et de l'écriture, des mots et des silences, des désirs trop éblouissants.

Pour rendre le monde supportable, il est nécessaire d'exorciser les obsessions, mais l'écriture peut à la fois cacher et dévoiler. Puis Duras à tâtons, répété encore et encore, à la recherche du mot juste, "test" de type, comme en témoigne sachant que l'amour n'est jamais pleinement atteint. Marguerite a dit: “L'écriture est d'essayer de savoir ce que vous écrivez, si vous écrivez”.“Ses romans sont disposés autour d'une explosion en plein centre, un moment de violence qui mène à la parole: Hiroshima et de l'amour, la mort et le désir psychique symboliquement entrelacées "Détruire, dit-elle". Et ce mot est comme la musique, il revient toujours, est la variation infinie sur un thème, c'est litanie et la détention, le contrôle et l'abandon.
Marguerite Duras est morte du cancer de la gorge, le 3 Mars 1996. Elle est enterrée au cimetière du Montparnasse.

Ont récemment récupéré écrits de jeunesse important que le Journal de la guerre et autres textes, en 2006, et quelques interviews italiennes en 2012.

-En cela, nous pouvons voir une interview vidéo M.Duras :



Auteurs: Mª Soledad Carbonell Suárez et Gloria Molina Romero. 4ºA

Completé par: Diego José Geniz Rubio. 4ºA

sábado, 8 de marzo de 2014

GEORGE SAND


George Sand est le pseudonyme d'Amantine Aurore Lucile Dupin, baronne Dudevan. Elle est née à Paris le 1º juillet 1804 et morte au château de Nohant-vic le 8 juin 1876.
Elle a été écrivain, critique littéraire et journaliste franÇaise. Elle a écrit plus de soixante-dix romans et cinquante volumes d'oeuvres dont des nouvelles, pièces de théatre, des textes politiques et des contes.
George Sand prend la défense des femmes, fustige le marriage et lutte contre les préjugés d'une société conservatrice. Pour cette raison elle adopte son pseudonyme masculin. Elle s'est habillée en homme pour accéder à des lieux interdits.
Aprés elle, autres  ećrivains signent ses écrits avec pseudonymes masculins, pour exemple Marie d'Agoult (Daniel Stern) ou Delphine de Girardin (Charles de Launay)
George Sand contribue activement à la vie intellectuelle de son époque. Elle a aussi un engagement politique actif à partir de 1848.
Son oeuvre est très abondante: ses premiers romans comme Indiana (1832)  qui defend la révolte des femmes. puis elle se montre preocupée pour  les ouvriers et les pauvres: Mauprat (1837).  
Elle a écrit romans champêtres comme La petite fadette (1849)  George Sand a abordé  l'autobiographie aussi:  Histoire de ma vie (1855) et le roman historique avec Consuelo (1843).


Por: Nuria Mena Ruiz 4ºB y Miriam Hernandez Carrasco 4ºA