Madame de La Fayette
Née en 1634 à Paris, dans une famille dans l’entourage du cardinal de Richelieu .Elle était une grande aristocrate française. Sa mère, fille d’un médecin du roi, est au service de la duchesse Rose-Madeleine d'Aiguillon.
En 1650, elle devient dame d'honneur de la reine Anne d'Autriche et commence à acquérir une éducation littéraire auprès du grammairien Ménage qui lui enseigne l’italien et le latin. Ce dernier l’introduit alors dans les salons littéraires en vogue de Catherine de Rambouillet , de la Marquise du Plessis-Bellière et de Madeleine de Scudéry.
Paris, dans une famille dans l’entourage du cardinal de Richelieu.
En 1650, sa mère se remarie avec Renaud de Sévigné, un oncle du mari de la marquise de Sévigné ; les deux femmes , qui ont huit ans de différence , deviendront pour toujours « les plus chères amies du monde » .
Mme de La Fayette est la prèmière femme que a écrit des romans historiques comme "La princesse de Clèves" , "Romans et Nouvelles" et "Histoire de Madame Henriette d´Angleterre"
Mme de La Fayette est la prèmière femme que a écrit des romans historiques comme "La princesse de Clèves" , "Romans et Nouvelles" et "Histoire de Madame Henriette d´Angleterre"
En 1655, Madeleine épouse, à l’âge de 21 ans, un Auvergnat de dix-huit ans son aîné, François Motier, comte de La Fayette dont elle aura deux fils. Ce veuf, frère de la célèbre Louise de La Fayette, qui mène une existence retirée dans son château, lui apporte la fortune et un nom. Elle l’accompagne dans ses domaines familiaux en Auvergne et dans le Bourbonnais bien qu’elle retourne fréquemment à Paris où elle commence à s’introduire dans la haute société de la Cour et à ouvrir avec succès son propre salon. Leur bonheur conjugal semble avoir sombré après quelques années de mariage, après la naissance de leurs fils, date à partir de laquelle François de La Fayette se fait tellement discret qu'il semble avoir littéralement disparu (ce n'est qu'à la fin du XIX siècle qu'un document trouvé dans les archives de la Trémoille indique que ce mari silencieux avait vécu jusqu'au 26 juin 1683) .
La Bruyère a résumé ainsi cette étrange situation : « Nous trouvons à présent une femme qui a tellement éclipsé son mari, que nous ne savons pas s’il est mort ou en vie… »
Voltaire a dit d'elle: " Sa Princesse de Clèves et sa Zaide furent les premiers romans où l'on vits les moeurs des honnêtes gens et des aventures décrites avec grâce"
Alberto Calle 4A
La Bruyère a résumé ainsi cette étrange situation : « Nous trouvons à présent une femme qui a tellement éclipsé son mari, que nous ne savons pas s’il est mort ou en vie… »
Voltaire a dit d'elle: " Sa Princesse de Clèves et sa Zaide furent les premiers romans où l'on vits les moeurs des honnêtes gens et des aventures décrites avec grâce"
Alberto Calle 4A
No hay comentarios:
Publicar un comentario